Le 3 mai 2025, le Gabon s’apprête à écrire l’une des plus belles pages de son histoire politique contemporaine : l’investiture du Président Brice Clotaire Oligui Nguema, élu à la majorité écrasante de 94,85 % des voix. Un événement historique, placé sous le signe de l’unité nationale, de la transparence et de la grandeur républicaine.
À cette occasion, il serait hautement symbolique – et pédagogique – qu’Ali Bongo Ondimba, ancien président déchu, soit invité à s’asseoir, au milieu des Gabonais rassemblés, pour observer ce que le vrai respect de la démocratie signifie.
Un contraste saisissant entre deux époques
Sous le règne d’Ali Bongo, chaque élection plongeait le pays dans l’angoisse et le chaos : fermeture brutale des frontières, coupures d’électricité à répétition, blackout total de l’internet, confrontation sanglante entre l’armée et les populations civiles, répression dans les quartiers populaires, familles terrorisées courant faire des stocks de vivres pour survivre à d’inévitables émeutes.
Les Gabonais, au lieu d’exercer sereinement leur droit de vote, vivaient chaque scrutin comme une épreuve de survie, mus par la peur d’un lendemain incertain.
Sous Oligui Nguema, une renaissance démocratique
Pour la première élection de la Cinquième République, sous le leadership du Président Oligui Nguema, le Gabon a montré un visage totalement différent : celui d’une nation apaisée, fière, et exemplaire.
Aucune coupure d’électricité.
Aucune coupure d’internet.
Aucune frontière fermée.
Aucun affrontement armé avec la population.
Aucune chasse à l’homme dans les quartiers populaires.
Au contraire : une campagne présidentielle d’une tenue exemplaire, marquée par le respect, la dignité et la confrontation noble des idées. Chaque candidat a défendu son projet de société sans invective, sans bassesse, sans menace. Les Gabonais ont voté massivement dans le calme, la transparence et la joie, redonnant ainsi au pays ses lettres de noblesse démocratique.
Ali Bongo : un spectateur obligé de la réussite d’Oligui
Dans ce contexte, il serait juste – presque naturel – que Brice Clotaire Oligui Nguema invite son prédécesseur à cette investiture historique. Que Ali Bongo prenne place, cette fois dans les gradins du stade d’Angondjé, pour voir de ses propres yeux ce qu’il n’a jamais su offrir à son peuple : un processus électoral digne, pacifique, respecté.
Un geste fort, non pas de revanche, mais d’élévation. Car Oligui Nguema ne construit pas un Gabon de la rancœur : il édifie un Gabon de la justice, de la mémoire, et de la grandeur.
Un clin d’œil appuyé à la famille Bongo
Et pour que la leçon soit complète, il serait tout aussi judicieux de retransmettre la cérémonie en direct dans les cellules de Sylvia Bongo et de son fils Nourredin, afin qu’eux aussi mesurent, depuis leur lieu de détention, l’ampleur de leur échec et la hauteur de l’espérance portée désormais par le peuple gabonais.
Le Gabon avance. Le Gabon se redresse. Le Gabon triomphe sous la conduite éclairée de Brice Clotaire Oligui Nguema.
Le 3 mai 2025 ne sera pas seulement une investiture. Ce sera une démonstration éclatante que l’histoire est désormais écrite par et pour le peuple gabonais.