La Cité Administrative Émeraude prouve qu’elle n’est pas à l’arrêt

Tandis que certains persistent à clamer que le chantier de la Cité Administrative Émeraude est figé, les faits et le quotidien des riverains démontrent l’inverse : l’édifice de Bessieux s’élève jour après jour, sous l’impulsion de la vision du président Oligui Nguema.

Depuis l’entrée du site, la vitalité du chantier saute aux yeux : les grues manœuvrent sans relâche, les maçons montent les murs du deuxième étage et les équipes d’électriciens posent les premières gaines. « Chaque matin, je passe devant et je vois la cité grandir d’un mètre de haut au moins », témoigne Monsieur P.A.M., enseignant au lycée de Bessieux. « Ceux qui prétendent que tout est à l’arrêt n’ont qu’à venir constater : moi, j’assiste à l’évolution concrète, brique après brique. »

Au cœur de cette effervescence, la pose des vitrages progresse : déjà 40 % de la façade sud est équipée, et la salle plénière est ceinte de sa charpente métallique. Sur le terrain, plus de 250 ouvriers travaillent en équipes successives pour respecter le calendrier serré. Les réseaux d’eau potable et d’électricité sont opérationnels sur la moitié du périmètre, et la dalle du troisième niveau sera coulée d’ici deux semaines, sans retard signalé.

Madame Amélie Maganga, commerçante à quelques encablures du chantier, se félicite de ces avancées tangibles : « Le président ne parle pas en mots, il agit. Quant aux jaloux qui ronchonnent et annoncent 3,11 % de progrès, ils vont maigrir d’envie en voyant les murs monter ! » Son ironie souligne la déconnexion entre les rumeurs et la réalité du terrain.

Fini les loyers exorbitants pour les services publics : cette cité, promise depuis janvier 2024, doit accueillir d’ici début 2026 les ministères, les tribunaux administratifs et les services de l’État, libérant ainsi des dizaines de bureaux loués à prix d’or. Plus qu’un bâtiment, la Cité Administrative Émeraude devient le symbole d’une administration efficiente et d’une gouvernance par l’acte. Ceux qui misaient sur l’inaction devront revoir leurs calculs face à cette démonstration de force et de savoir-faire gabonais.

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