Législatives et Locales 2025 : Ali Bongo, l’ombre maléfique d’un régime déchu

À quelques jours du scrutin du 27 septembre 2025, Ali Bongo refait surface, à travers les mots de son fidèle Ali Akbar Onanga. Dans une déclaration publique, il appelle les Gabonais à voter massivement pour le Parti démocratique gabonais (PDG). Mais derrière ce discours se cache une manœuvre perfide : celle de faire revenir par la petite porte un parti qui a détruit le pays pendant plus d’un demi-siècle.

Un parti maléfique contre la bonne gouvernance

Le Gabon connaît aujourd’hui une respiration nouvelle. Depuis le 30 août 2023, le Président Brice Clotaire Oligui Nguema incarne une gouvernance fondée sur la justice, la rigueur et le développement. Routes, logements, infrastructures scolaires et hospitalières, réformes institutionnelles : les résultats parlent d’eux-mêmes. En appelant à voter pour le PDG, Ali Bongo n’a qu’un seul objectif : jeter de l’ombre sur cette gestion exemplaire et préparer en douce une reconquête du pouvoir. Il ne s’agit pas d’un simple appel électoral, mais d’un véritable sabotage contre l’avenir du Gabon.

Qui finance le PDG depuis l’étranger ?

La question brûle les lèvres : comment le PDG a-t-il pu aligner pas moins de 145 candidatures à ces élections locales et législatives ? Est-ce un hasard, ou bien Ali Bongo, depuis son exil londonien, a-t-il trouvé les moyens financiers pour redonner du souffle à son appareil moribond ? Si tel est le cas, alors il s’agit d’une ingérence flagrante d’un ancien président déchu, qui refuse d’accepter le choix du peuple exprimé le 30 août 2023. Les Gabonais doivent ouvrir les yeux : ce parti n’a jamais rien apporté de positif, il a toujours vécu sur la sueur et les larmes du peuple.

L’heure de la sanction populaire

Le 27 septembre prochain, chaque citoyen gabonais doit transformer son bulletin de vote en arme pacifique. Sanctionner le PDG dans les urnes, c’est protéger le renouveau engagé, c’est refuser que le passé honteux vienne ternir les efforts de redressement du pays. Le PDG n’est pas seulement un adversaire politique : c’est le symbole d’un système mafieux, corrupteur et oppresseur.

Un appel au Président Oligui Nguema

Mais le combat ne se limite pas aux urnes. Il est temps que le Président Brice Clotaire Oligui Nguema, libérateur du 30 août, prenne une décision claire : débarrasser l’administration et le gouvernement des derniers résidus du PDG. Comment construire un pays nouveau avec des acteurs qui incarnent l’ancien système ? Le peuple attend des gestes forts. L’heure n’est plus à la cohabitation hypocrite mais à la rupture totale.

Ali Bongo veut ressusciter un parti maléfique pour saboter l’élan national. Mais le peuple gabonais a déjà choisi la lumière contre les ténèbres. Le 27 septembre, les urnes doivent être le tombeau définitif du PDG. Et au sommet de l’État, le Président Oligui doit donner un signal fort : tourner la page des Bongo, une bonne fois pour toutes.

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