Contrairement à une rumeur virale orchestrée pour déstabiliser l’opinion, Sylvia Bongo Ondimba et son fils Nourredin Bongo Valentin sont toujours détenus à la prison centrale de Libreville. Ces allégations mensongères visent à ternir l’image du Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema.
Depuis quelques jours, une campagne bien orchestrée sur certains réseaux sociaux et dans des médias peu crédibles prétend que Sylvia Bongo et son fils Nourredin ne seraient plus en détention à la prison centrale, mais placés en résidence surveillée à la Sablière. Ces affirmations, totalement infondées, sont non seulement démenties par les faits, mais s’inscrivent dans une stratégie plus large de désinformation visant à semer le doute dans l’opinion publique et à porter atteinte à la crédibilité du Président Oligui Nguema, garant du processus de restauration de l’État et de la justice pour tous.
Le Ministère de la Justice n’a annoncé aucun changement de régime de détention, et les autorités pénitentiaires confirment que les deux mis en cause se trouvent toujours à la prison centrale, conformément aux procédures judiciaires en cours. Ces rumeurs mensongères, colportées sans vérification ni responsabilité, ont été vivement condamnées par plusieurs voix autorisées. Pour Maître A.M, avocat au barreau du Gabon, « il est temps que certains médias cessent d’être des relais de manipulations. Propager de fausses informations, c’est trahir la mission fondamentale du journalisme ». Il appelle la HAC à « rétablir l’ordre dans le paysage médiatique national ».
Rencontrés dans les rues de Libreville, plusieurs citoyens refusent de croire à cette rumeur qui a circulé tout le week-end. « Ce sont des inventions. Pourquoi voudrait-on les sortir discrètement ? Nous faisons confiance au Président Oligui Nguema pour que la justice soit égale pour tous », a déclaré Jean-Marc, enseignant. Même réaction du côté de Claire, une commerçante de Nkembo : « Ce qu’on veut, c’est la vérité. Pas des intox pour salir le Chef de l’État. Qu’on nous respecte un peu ! »
La population est donc appelée à faire preuve de vigilance, de discernement, et à ne pas céder aux manipulations de ceux qui cherchent à déstabiliser le pays en minant la confiance entre le peuple et ses dirigeants. Le Gabon, engagé sur la voie de la justice et de la transparence, mérite une presse responsable, respectueuse de l’éthique et soucieuse de l’intérêt général.
